Accroché à tes basques
Comme un chaton à la mamelle…
Voilà, voilà que je me dévoile
Et que dès la première ligne
Mon cœur s’épanche et se trahit.
Ha, voilà donc la chose,
On s’en doutait un peu,
Mais ça se concrétise !
Le Tarzan, le frimeur,
Le Zorro, le lutteur de Foire,
C’est un enfant perdu,
Ça n’a pas d’épaisseur
Ça frissonne à la brise
Et pour un peu de vent,
Ça décroche,
C’est feuille morte
C’est confetti
C’est petit.
« Comme un chaton à la mamelle
Je t’aperçois et je revis… »
N’en jetez plus, on a compris,
C’est un fantôme qui écrit.
Perdu dans ses fantasmes,
Loin du monde et de la Vie,
Il s’accroche à un être
Et sans cesse le poursuit.
Fidèle comme une ombre,
Collant comme la poisse,
« Nous n’irons plus au bois ensemble… »
Protège-toi, la Belle,
Protège-toi !!!
Texte et Illustrations-Photos D.M. alias hombre de Nada 1974-2022.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire