samedi, janvier 13, 2007

la bête se relève !

photo d.m.



Salutatoustes

Mon ordi et moi, on a franchi les obstacles, encouragés par vos souffles d'énergie. Du coup, je retrouve un élan printanier et je vous offre à lire un conte poétique dont je vous ai déja parlé "Comme un goût de cendre au réveil" . Vous connaissez la tac-tic : il suffit de cliquer dans les tiroirs de droite et un nouveau monde vous attend.
Bien sûr, c'est du Denis Marulaz, c'est sans concession, ça montre le derrière des apparences, ça illumine les ficelles qui en vérité font mouvoir les "hommes libres" que nous croyons être. Mais aussi, des perspectives s'ouvrent, des choix semblent s'offrir...
Je souhaite bonne lecture à mes fidèles ami(e)s qui m'ont fait l'honneur de lire mes autres textes et d'apporter leurs riches commentaires.
Bienvenue aussi aux nouveaux visiteurs assez ouverts d'esprit pour aborder une écriture de clous et de miel.

3 commentaires:

Anonyme a dit…

Une écriture en clous et miel!
Bon j'ai hâte, Denis merci d'être passé sur mon blog cela m'a fait très plaisir. Je reviens de longs voyages et j'ai pris beaucoup de retard.Je t'embrasse

Anonyme a dit…

Denis,
Cette photo est si belle ..
Elle m'évoque la bambouseraie d'Anduze , les flammes des cierges d'une crypte et un labyrinthe refuge .Un mélange des 3, un côté sacré ( et dans ma bouche,cela n'a rien à voir avec une quelconque religion ) introspectif et méditatif, apaisant .Ces couleurs sont celles du dernier auto portrait que je peins, j'y ai rajouté du violet ...
C'est bizarre, cette rencontre ...picturale .( Marie Thérèse, chut! pas d'interprétation psy , stp !on s'en fiche, vivons l'instant présent sans se poser de question ! ) En vrai ,Denis, qu'est-ce que c'est que cette photo ??
Véronique

Anonyme a dit…

Salut, Claude, bon travail !

Ah! Véronique la curieuse, oserais-je avouer que cette "belle" photo a tout simplement volé ses lumières vertes à un alignement de bouteilles vides?
Je suis heureux que nous ayons pensé aux mêmes couleurs, chacun pour exprimer son intérieur.
A ce sujet, je n'ai pas reçu ton "Etre des sables". As-tu refait une tentative?
Je pense à toi.